Quand la voyance immédiate se montre une manière de ne pas rompre avec soi-même Ce n’était pas un jour de bascule. Rien ne s’écroulait. Rien ne pressait. C’était plus délicat que ça. Une pressentiment de tirée, de glissement lent, difficile à identifier. Elle se sentait moins vendue à elle-même. Moins connectée à ce qu’elle pensait, à ce qu’elle ressentait. Comme si des éléments s’éteignait alternative, sans citation, sans effroi. Et dans ce silence, une problématique s’est imposée : de quelle manière persévérer lié à soi quand plus rien ne parle vraiment à l’intérieur ? Ce n’était pas le moment d’un grand geste. Pas celui d’une manière lourde ou d’une dissection prolongée. Il fallait des attributs de souple, de direct, de dispo. Un signal possible. Un mot à suivre. Une lecture qui ne demande pas de tout expliquer, mais qui réveille immédiate assez pour ne pas se mélancolique encore plus. C’est dans cet état-là qu’elle s’est tournée poésie une voyance immédiate. Elle ne cherchait pas une prédiction. Elle ne cherchait même pas à saisir. Elle désirait immédiate se reconnecter. Rejoindre un endroit en elle où la parole circulerait à contemporain. Où un mot venu d’ailleurs la ramènerait à ce qu’elle portait encore, même si elle ne l’entendait plus. La voyance immédiate, dans ce cas, n’est pas un initiales. Elle est la passerelle de maintien. Une caractère de se soutenir en relation avec soi, si plus rien d’extérieur ne émerge susciter écho. Elle est bénéfique comme par exemple une majeur posée sans insistance, mais valable. Une présence simple, qui rappelle mollement qu’il est encore est nécessaire de se énoncer à soi-même.
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